(précédents romans publiés, alors que j’étais en activité, sous mon nom de plume : Henry Chennevières)
L’étoile de mer : (prix Marcel Pagnol 1986, éditions du Rocher)
Le Monde, 18 avril 1986
« Henry Chennevières manifeste autant d’humour que de savoir. Mais l’amour me direz-vous, et le bonheur ? Qu’en est-il, et quelle place leur donner au cours de cette quête ? C’est précisément de cela que traite L’Etoile de mer et de l’impossibilité de se prénommer Amour lorsqu’on a la secrète ambition de devenir un jour Ambassadeur ou Commissaire de la République. Car le lauréat du Prix Marcel Pagnol a le rare mérite de savoir à la fois intéresser et amuser. »
Edmonde Charles-Roux, de l’Académie Goncourt
Présidente du jury du Prix Marcel Pagnol
France–Soir Magazine (Jacques Prezelin) :
« L’étoile de mer : beau comme du Giraudoux »
André Roussin, de l’Académie française :
« Vous n’avez, Monsieur, ni le style de Pagnol, ni celui de Giraudoux, mais l’un et l’autre eussent aimé le vôtre, car vous en avez un. Un style c’est la garantie d’une oeuvre à venir. Or, on en peut pas se tromper en ce qui vous concerne : vous êtes un écrivain. »
Un printemps de Russie (prix Louis Barthou de l’Académie Française 1988 –éditions du Rocher)
Magazine littéraire :
« Une double et musicale méditation sur le temps et une interrogation poignante sur le bonheur » ;
Figaro littéraire :
« Une poésie subtile et nonchalante… Un amour entre une jeune romaine et un écrivain russe au temps de la péréstroïka »
Le Trio des Esprits (éditions du Rocher)
France culture :
« Un des trois ou quatre bonheurs littéraires d’une année »
Maurice Druon :
« Un remarquable roman, un roman européen, un roman de civilisation »
Le palais des amours défendues (éditions Calmann-Lévy)
Le palais des amours défendues
Maurice Druon, Secrétaire perpétuel honoraire de l’Académie Française :
« Stendhal a dit : « Il y a des jours où le seul fait d’être à Rome suffit au bonheur ». C’est pourquoi l’on est heureux en lisant votre « Palais des amours défendues »… Rome est là, personnage premier, « ville sans âge et donc sans vertu »… Votre intrigue, qui est d’imagination autant que de psychologie, eût pu se situer à la Renaissance ; sa modernité est de toutes saisons. »
La voix de la France (numéro spécial Italie) :
« … l’analyse psychologique se double d’une analyse remarquable de la société italienne… Trois heures de vrai bonheur. »
Retour d’amour (éditions du Rocher) :
Le sujet est tout entier dans la première phrase : « Lorsque Léa eut cinquante ans, Luc s’aperçut qu’elle était belle ». Une enquête sur la beauté…